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Moïse a-t-il vraiment existé ?

Ceci est une traduction de l’article de Dave Armstrong du 14 Juin 2021. Voir aussi: Collection d’articles sur la Bible et l’archéologie

Critiques avec Pearce, épisode #35, dans lequel notre brave héros assimile Moïse à un personnage mythologique ! Je lui réponds !

crédit photo: Moses, Aaron and Hur (1837), by Alexander Heubel (1813-1847) [domaine public/ Wikimedia Commons]

Des pistes sérieuses quoique non absolues l’indiquent !

L’athée anti-théiste Jonathan M.S. Pearce avec lequel j’ai beaucoup dialogué, a récemment purement et simplement nié l’existence historique de Moïse :

« Il est intéressant de remarquer que le musée du Louvres de Paris possède une stèle, datée de 2300 av. J.C., liée aux victoires et au règne de Sargon. Nous avons là une preuve contemporaine véridique de l’existence de cet homme 1000 ans avant que Moïse ait hypothétiquement vécu. Après tout, Sargon est un personnage historique. Moïse n’en est pas un.» (6-12-21) ;

« Moïse est un personnage mythologique. (6-13-21) »

Cela ne devrait surprendre personne, puisqu’il a aussi récemment affirmé qu’il estimait : « certain à environ deux chances sur trois qu’un vrai Jésus réel ait existé tout élément de mythologie mis à part, contre une chance sur trois que Jésus soit complètement mythologique » ; et aussi : « tout ce que nous pouvons savoir sur le Jésus historique est qu’il a vécu à Nazareth, qu’il fut un prêcheur itinérant et fut exécuté à Jérusalem. Tout le reste relève du mythe. Donc, le Jésus du nouveau testament est en réalité mythologique quoi qu’il en soit… L’immense majorité des Évangiles est complètement mythologique.»

De toute façon (comme c’est le cas d’un agnostique post-moderne, apathique et cynique), Pearce ne s’intéresse pas à l’une ou l’autre hypothèse. A notre époque, il est très à la mode parmi les athées de nier purement et simplement l’existence de Jésus (thèse du mythicisme). Pearce est manifestement sur ce chemin et il ne faudra pas attendre bien longtemps avec qu’il abandonne chaque faisceau d’indice de l’historicité du Dieu incarné. J’ai longtemps considéré cette position comme un suicide intellectuel.

Je n’ai pas l’intention de réaliser une enquête complète sur la question du Moïse historique. C’est le travail des historiens et des archéologues. J’ai assez peu écrit à propos de l’Exode (à propos duquel les preuves sont sommaires et sujettes à la controverse) et ai préféré me focaliser sur les preuves archéologiques à partir des conquêtes de Josué, environ en 1250 av. J.C. (c’est ce dont nous parlerons dans ce papier). Je présenterai seulement quelque preuves indirectes ou déductives que je considère comme étant « fortes ».

Il y a plusieurs bons livres traitant d’archéologie et de l’Exode, majoritairement (ou tout du moins partiellement) rédigés dans une perspective plus traditionnelle « pro-biblique » par des savants compétents :

Exploring Exodus: The Origins of Biblical Israel (Nahum M. Sarna [Professeur d’études bibliques à l’université de Brandeis University et éditeur et traducteur de la bible traduite par la Jewish Publication Society] Schocken, 1996, 277p)

Israel in Egypt: The Evidence for the Authenticity of the Exodus Tradition (James K. Hoffmeier [professeur d’études biblique et d’archéologie], Oxford University Press; Revised edition: 1999, 280p)

Israel’s Exodus in Transdisciplinary Perspective: Text, Archaeology, Culture, and Geoscience (Quantitative Methods in the Humanities and Social Sciences) [44 savants et spécialistes] (Springer, 2015 edition, 611p)

Did I Not Bring Israel Out of Egypt?”: Biblical, Archaeological, and Egyptological Perspectives on the Exodus Narratives (édité par James K. Hoffmeier, Alan R. Millard, and Gary A. Rendsburg, Eisenbrauns, 2016, 352p)

The Exodus(Richard Elliott Friedman [docteur d’Harvard et ses collègues d’Oxford et de Cambridge, and Ann & Jay Davis Professor d’études Juives à l’université de Georgia et le « Katzin Professor » émérite de civilisation Juives de l’université California, San Diego, Harper One, 2017, 304p)

The Exodus: An Egyptian Story (Peter Feinman [président de l’institut d’histoire, d’archéologie et d’éducation], Oxbow Books, 2021, 192p)

Je suis d’accord avec lui ! Commençons donc avec son travail auquel je me suis référé dans mon livre de 2014 à propos de ma visite en Israël la même année, Footsteps that Echo Forever: My Holy Land Pilgrimage, et dans un article tiré de ce chapitre, maintenant présent sur mon blog : Joshua’s Altar on Mt. Ebal: Findings of Recent Archaeology. Je le citerai abondamment (sans couper quoi que ce soit). Concernant le contexte, lisez les passages bibliques pertinents cités dans leur intégralité au début de mon article.

1) L’autel de Josué sur le mont Ebal – daté de 1220 à 1000 av. J.C.

Feu le docteur Adam Zertal, décédé en 2015, était professeur au département d’archéologie à l’université de Haïfa, ainsi que son président de 1996 à 1999. Il a reçu son doctorat en 1988 à l’université de Tel Aviv. Il a été l’auteur des ajouts sur le mont Ebal dans les encyclopédies The New Encyclopedia of Archaeological Excavations in the Holy Land (éditée par Ephraim Stern, Jerusalem: 1993; voir pages. 375-377), et The Oxford Encyclopedia of Archaeology in the Near East (éditée by Eric M. Meyers, Oxford Univ. Press, 1996; voir pages 179-180).

En avril 1980, alors qu’il n’était pas du tout enclin à soutenir les textes bibliques, alors qu’il explorait le mont Ebal, (la Sichem biblique, proche de la cité de Naplouse en Cisjordanie), Zertal a « découvert une structure très ancienne sans précédent connu. Il publia ses trouvailles initiales et ses conclusion dans son article avec ces mots : « L’autel de Josué a-t-il été trouvé sur le mont Ebal ? », Biblical Archaeology Review XI (1985), pp. 26-44.

Il y a écrit :

Nous fûmes immédiatement capables de dater ces pierres au début de la période que les archéologues nomment l’âge du fer 1 (1200 à 1000 av. J.C.), période durant laquelle les Israélites sont entrés en terre de Canaan et s’y sont installés. L’âge du fer 1 inclut la période des Juges.

Ce qu’il a trouvé était une structure presque carrée, de près de 9 pieds de haut et d’environ 25 par 30 pieds de large et de long. Des indices concernant sa fonction, celle d’un autel, ont commencé à émerger. Le docteur Zertal commente plus loin dans l’article susmentionné :

Les os, qui ont été trouvé dans de telles quantités dans les remblais, furent envoyés au département de zoologie de l’université Hébreuse de Jérusalem pour y être analyser. Il a été montré que les os sont ceux de jeunes bœufs, moutons, chèvres et daims mâles… Le premier chapitre du Lévitique décrit les animaux qui peuvent être offerts en sacrifice. L’animal offert en holocauste doit être un mâle sans défaut (Lv I:3). Il peut être un bœuf (Lv I:5) ou un mouton ou une chèvre (Lv I:10). La correspondance proche entre les os trouvés dans les remblais et cette description du premier chapitre du livre du lévitique a été un indice aidant à identifier la nature de la structure que nous étions en train d’excaver.

942 os furent examinés, ce qui représente 50 à 100 spécimens. Ils ont été attribués à quatre sorte d’animaux : les chèvres, les moutons, les bovins et les daims [la loi Mosaïque autorise la consommation de viande de daim : Dt XIV;4-5]. Ces derniers sont des animaux à tâches claires peuplant les paysages boisés de notre pays dans l’antiquité. Lorsqu’il était possible, l’examen du sexe et de l’âge des animaux a révélé que tous étaient de jeunes mâles d’environ 1 an. Ceci correspond remarquablement à la loi du sacrifice du livre du Lévitique [I:1-3]…

Une grande partie des os, nous l’avons dit, ont été brûlés par un feu et coupés près des articulations. Le fait que ces os aient été brûlés de la sorte atteste que la viande n’était pas destinée à la consommation, mais a été brûlée au-dessus d’un feu ouvert (c’est-à-dire pas dans un four). Donc, la forte corrélation de ces restes avec les lois bibliques du sacrifice, associée à la grande ressemblance architecturale avec les autels Israélites a confirmé l’opinion selon laquelle nous avions là un site dédié au culte et un autel du début de l’implantation Israélite.

Il ajouta en 2004 :

De récentes fouilles archéologiques approfondies des hautes terres ont toutefois clairement révélées le processus d’implantation Israélite comme un mouvement majeur de la colonisation de cette ère (1250 à 1100 av. J.C.). Des centaines de petites implantations nouvellement fondées ont été établies dans une période courte par delà les terres vallonnées des tribus de Manassé, Ephraïm et Benjamin.

Les variétés d’os d’animal découvertes sont des preuves que les lois sacrificielles étaient suivies dès les débuts de la religion Israélite. En dépit de la présence de sangliers sauvages dans la région, pas un seul os de cet animal, ne convenant pas au sacrifice, n’a été trouvé sur le mont Ebal.

Bien d’autres trouvailles sont détaillées dans mon article. Donc, cela montre une fascinante confirmation des descriptions bibliques d’un autel bâti par Josué, successeur de Moïse, dans le pays de Canaan, et dont les datations archéologiques se situent de 1250 à 1200 av. J.C., ce qui correspond exactement à la période suivant immédiatement la mort de Moïse (qui, selon l’encyclopédie britannica, eut lieu en 1250 av. J.C.) et la direction civique et militaire de son successeur Josué.

Ma question adressée aux athées et autres sceptiques est donc la suivante : « Si la Bible est si admirablement précise quant à cette période, survenant juste après la mort de Moïse (nous omettons de mentionner les centaines d’autres découvertes archéologiques confirmant la Bible sur plus de 150 ans), pourquoi ne devrions nous pas la croire à propos de l’époque qui précède immédiatement ? N’a-t-elle pas plus que mérité cette confiance ?

2) Preuves archéologiques de la conquête de Josué

Ceci est directement lié à la preuve précédente se situant à la période suivant immédiatement la mort de Moïse (si nous acceptons la chronologie biblique dans ses grandes lignes). J’ai récemment écrit à ce sujet dans mon papier, Pearce’s Potshots #32: No Evidence for Joshua’s Conquest? (5-28-21). Je vais résumer ce que j’y ai présenté :

Site de Tell Hazor ou Tell Asor

Eero Junkkaala, Three Conquests of Canaan: A Comparative Study of Two Egyptian Military Campaigns and Joshua 10-12 in the Light of Recent Archaeological Evidence (Finland: Abo Akademie University Press, 2006):

A la fin de l’âge du bronze, Hazor était la plus grande et la plus dominante des cités états de Canaan (cf. Josué XI:10-13). Cela a été confirmé à la fois par l’archéologie et plusieurs anciennes sources historiques.

Dans les excavations effectuées parYigaël Yadin [alors professeur d’archéologie à l’université hébreuse de Jérusalem], les sites ont été datés entre la fin de l’âge du bronze II et l’âge du fer I, les fouilles ont eu lieu dans les zones A, B, BA, toutes dans le niveau supérieur de la cité. Un niveau datant de la fin de l’âge du bronze II a également été trouvé dans les zones H et 210/A ainsi que dans la cité basse. La vaste cité (Strata XV-XIII) de la fin de l’âge du bronze a été totalement détruite à la fin de la période, probablement dans le second tiers du treizième siècle av. J.C. [environ 17 ans après la mort de Moïse.]

La question portant à savoir qui a détruit la cité Cananéenne d’Hazor, et qui étaient les habitants de cette ville à l’âge du fer est controversée. Selon le projet de Yadin, il semble clair que les Israélites sont les 2. Yohanan Aharoni [président du département des études du proche orient à l’université de Tel Aviv] a affirmé, comme Yadin, que « la destruction totale de Hazor et les tentatives de colonisations Israélites se conforment bien à la tradition biblique selon laquelle la cité a été démolie par les Israélites »…

Selon Ammon Ben-Tor [professeur d’archéologie à l’université Hébreuse de Jérusalem], la possibilité la plus probable est que ce sont les Israélites.

Rafael Frankel, qui a récemment mené des fouilles en haute Galilée [se référer à ce livre], en est arrivé à la même conclusion. Il soutient que « dans le cas de la conquête d’Hazor aussi, les découvertes archéologiques corroborent manifestement la description biblique : une cité Cananéenne a été totalement détruite et un petit village de l’âge du fer I a été bâti sur ces ruines.(pp. 230-231, 233-234)

Tout est exactement tel que la Bible le relate … Et cela peu après la mort de Moïse …

Site de Lachis

Lachis [cf. Josué X:31-32] était à cet époque une des plus importantes cités états du sud de Canaan… Le niveau VII, daté du 13e siècle avant notre ère, a été détruit par le feu…

Selon David Ussiskin [professeur d’archéologie à l’université de Tel Aviv], « la description biblique [cf. Josué X:31-32] correspond aux données archéologiques ; une vaste cité Canaanéenne détruite par le feu ; l’absence de fortifications, permettant la conquête de la cité par un attaque éclair, et la désertion complète de la cité rasée expliquée par l’extermination de la population … »

En comparant les résultats de Hazor et de Lachis, une histoire similaire peut émerger, bien qu’il y ait une petit différence dans les dates. Dans le cas des deux sites, une cité forte de la fin de l’âge du bronze s’effondre et une colonie pauvre, de l’âge du fer I, apparaît peu après la destruction, c’est-à-dire immédiatement ou quelques temps après un temps d’occupation. Puis, la ville Israélite de l’âge du fer II est bâtie sur le site. La destruction d’Hazor est datée du 13e siècle (av. J.C.) et celle de Lachis au milieu ou à la fin du 12e siècle (av J.C.). La phase d’habitation suivante débute probablement durant le 11e siècle (av. J.C.) à Hazor et durant le 10e siècle (av. J.C.) à Lachis.(Junkkaala, ibid., pp. 235-236, 238)

Béthel

La ville de la fin de l’âge du bronze de Béthel a été détruite par le feu [cf. Juges I:22-25]. Selon Albright et Kelso, cet événement eut lieu entre 1240 et 1235 av. J.C. Ils n’expliquent pas cependant comment ils aboutissent à cette date, qui vient potentiellement des travaux de Yadin à propos de la destruction d’Hazor.

Quelques savants ont récemment accepté cette conclusion. Après la destruction de la cité de la fin de l’âge du bronze I, l’occupation était pauvre et assez différente matériellement parlant… Finkelstein, en 1988, a aussi accepté que Béthel était une cité Cananéenne prospère qui fut remplacé par les Israélites au début de l’âge du fer I.

La comparaison avec Hazor donne des résultats similaires. La datation de l’effondrement de la cité de Béthel à la fin de l’âge du bronze n’est pas exacte, mais elle peut être aux alentours de celle d’Hazor, vers la fin du 13e siècle av. J.C. La culture matérielle des habitants de l’âge du bronze I semble être assez différente des précédentes. (Junkkaala, ibid., pp. 238-239)

Cités Cananéennes Conquises et non conquises

Junkkaala tire ses conclusions à propos de ces cités mentionnées dans la Bible à propos de Josué, de la conquête Israélite et de la colonisation conséquente :

Cette étude a inclus 29 sites qui ont été divisés en 2 catégories principales : les « cités conquises » et les « cités non conquises ». La première catégorie a été subdivisée en 3 groupes ; les cités excavées, les cités examinées et les autres. Des excavations ont été réalisées dans toutes les cités non conquises.

Pour chaque site, deux questions ont été posées : étaient-ils habités durant les périodes en question (fin de l’âge du bronze I, âge du fer I et II), et pouvons nous savoir quelque chose du contexte culturel des habitants. Il a pu être mis en évidence dans la plupart des cas que la culture était influencée soit par la culture de la plaine côtière (C) soit par la culture des hautes terres (H). La troisième possibilité était la culture des gens de la mer, principalement les Philistins (P).

La liste des cités conquises contient 19 sites. 12 d’entre eux ont été excavés, 5 ont été examinés et les 2 restants n’ont pas été analysés. Pour 10 des 12 cités excavées, la culture C dominait durant la fin de l’âge du bronze II et pour trois d’entre elles (Ai, Arad et Makkedah), aucune trace d’installation n’a été trouvée durant cette période. Le changement culturel entre l’âge du bronze II et l’âge du fer I est perceptible sur tous les sites, quoique dans certains cas cela ne saute pas aux yeux. Ce changement ne survient pas simultanément, à Ai, la culture H apparaît à l’âge du fer I comme pour la plupart des autres cités de ce groupe, mais à Arad et Makkedah, aucune colonisation n’a lieu jusqu’à l’âge du fer II.

Dans 8 des 12 cités excavées, les nouveaux occupants semblent représenter la culture H…

La liste des cités non conquises contient 10 sites dont tous ont été excavés. La culture C a dominé dans tous les sites à la fin de l’âge du bronze II. Lors de l’âge du fer I, la même culture a été trouvée dans au moins 4 d’entre eux, et la culture P ou ses variations, sont trouvées dans 5 sites (Gezer, Jarmuth, Dor, Aphek, and Achsaph). . . .

La différence notable entre les résultats archéologiques issus des cités « conquises » et « non conquises » est la suivante : dans les villes conquises, la culture H apparaît durant l’âge du fer I (bien que cela ne soit pas simultané), et dans les villes non conquises, la culture H n’apparaît qu’à partir de l’âge du fer II. (pp. 299-300)

Cela est une forte confirmation archéologique des descriptions bibliques de la conquête. Rappelons que Jonathan Pearce a récemment affirmé qu’il n’y avait « peu ou pas de preuve » de la conquête de Josué et de la colonisation des nouveaux résidents Israélites. En l’état actuel des choses, le contenu de la Bible est une nouvelle fois confirmé, et je suggère que, puisque la Bible est si précise lorsqu’elle traite d’événements survenus 50 à 100 ans après la mort de Moïse, comme l’archéologie nous l’apprend, alors son contenu est également probablement exact en ce qui concerne la vie de Moïse.

Il est également vrai que l’archéologie peut potentiellement confirmer certains événements liés à Moïse, comme c’est le cas en ce qui concerne les événements liés à Josué. J’ai exploré certains de ces événements récemment dans mes papiers : “Moses, Kadesh, Negev, Bronze Age, & Archaeology”, dans mes 2 articles concernant l’exode en Egypte, mon examen des Edomites et des anciens Philistins. Et il est également possible de chercher à vérifier, à l’aide de données archéologiques, la véracité des événements rapportés dans la Bible – traitant d’autres personnages, les patriarches Abraham, JacobJoseph, leur usage de chameaux (one / two / three), etc… D’un point de vue global, ce que l’archéologie peut apporter pour confirmer la précision de la Bible est assez étonnant, voire même jouissif pour les dévots Chrétiens et Juifs.

Merci aux quelques membres du site lecatho pour leur coup de main dans la traduction. Joyeux Noël !

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