Ceci est une traduction de l‘article de Dave Armstrong du 23 Juillet 2020.
Photo credit: Church fathers altar (Kirchenväteraltar): Saint Augustine and the devil (bet. 1471-1475), by Michael Pacher (1435-1498) [public domain / Wikipedia]
L’idée défendue dans cet article est simple à comprendre :
1. Les différentes personnes dénigrant ou critiquant le Pape, telles que l’Archevêque Vigano, l’Evêque Schneider, les docteurs Taylor Marshall, Phil Lawler, Henry Sire, Peter Kwasniewski, ainsi qu’un grand nombre de sites réactionnaires tels que One Peter Five, The Remnant, Lifesite News, Rorate Caeli, Church Militant et même un nombre grandissant (c’est très triste…) de Catholiques par ailleurs orthodoxes ou d’apostolats orthodoxes en dehors de cela, prétendent que le Pape François est un hérétique, ou qu’au minimum, il répand de sérieuses erreurs théologiques et/ou morales qui subvertissent la foi Catholique traditionnelle.
2. Les Catholiques ont le devoir de donner leur assentiment et d’obéir à ce que le magistère définit comme tel en matière de théologie et de foi, cela inclut l’enseignement concernant l’autorité et l’indéfectibilité du Pape.
3. Le magistère Catholique enseigne précisément que le pape et le siège de Rome – sous la protection du Saint Esprit – ne peut pas défaillir et que sa foi ne défaillira jamais dans les faits, et n’enseignera donc pas l’erreur, et c’est pourquoi le Pape ne peut être jugé ni être soumis à l’autorité d’aucun homme (ni d’aucun concile œcuménique à ce sujet).
Je vais maintenant détailler cette dernière affirmation n°3 à partir de sources magistérielles en utilisant le Denziger Enchirion symbolorum (c’est-à-dire la source de référence concernant les dogmes de l’Eglise Catholique : 43e édition de 2012, éditée et traduite en partie par mon bon ami le Dr. Robert Fastiggi) : tout particulièrement la partie traitant des enseignements du Concile Vatican I.
[Note de la traduction: nous utilisons la version traduite du Denziger et des textes cités vers lesquels les liens hypertextes renvoient; concernant les passages bibliques, la traduction Crampon est utilisée]
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Bien que la tradition des pères ait reconnu au Siège apostolique une telle autorité que personne n’a osé mettre en cause son jugement, et qu’elle ait toujours observé cela par des canons et des règles, […] alors que Nous aurions une telle autorité que personne ne pourrait débattre encore une fois de notre décision, […]
(Pape Zosime, Lettre « Quamvis Patrum » au concile de Carthage, 21 mars 418., pp. 81-82, D #221)
[…] on ne doit pas débattre à nouveau de ce que nous avons jugé. Jamais en effet il n’a été permis de traiter à nouveau de ce qui a été décidé une fois par le Siège apostolique.
(Pape Boniface Ier, Lettre » Retro maioribus » à l’évêque Rufus de Thessalie, 11 mars 422. p. 85, D #232)
Jamais personne n’a levé la main avec audace contre l’éminence apostolique dont il n’est pas permis de réviser le jugement, personne ne s’est dressé contre elle s’il ne voulait pas être jugé.
(Pape Boniface Ier, Lettre » Manet beatum » à Rufus et aux autres évêques de Macédoine, etc., 11 mars 422, p. 86, D #235)
[…] Le juge ne sera jugé ni par l’empereur, ni par tout le clergé, ni par les rois, ni par le peuple (Note en bas de page : « Ces mots sont cités comme étant ceux du pape Sylvestre 1er ») […] » Le premier Siège ne sera jugé par personne « [… ]
(Pape Nicolas Ier : Lettre » Proposueramus quidem » à l’empereur Michel, 28 septembre 865, p. 219, D#638)
[…] il est manifeste que le jugement du Siège apostolique, pour lequel il n’y a pas d’autorité plus grande, ne doit être réexaminé par personne […] ce qui a trait au jugement de l’évêque de Rome ne doit plus être examiné […]
(Pape Nicolas Ier : Lettre » Proposueramus quidem » à l’empereur Michel, 28 septembre 865, p. 219, D#641)
Si tu as cru et crois que l’autorité suprême et prééminente et le pouvoir de juger de ceux qui étaient les pontifes romains, de Nous qui le sommes, et de ceux qui le seront, était, est et sera telle qu’eux et Nous n’ont pu, ne peuvent et ne pourront être jugés par personne ; mais qu’eux et Nous ont été, sommes et seront laissés au seul jugement de Dieu, et qu’il n’a pas été possible, qu’il n’est pas possible et qu’il ne sera pas possible de faire appel de nos sentences et de nos jugements à un autre juge, quel qu’il soit.
(Pape Clément VI : Lettre » Super quibusdam, à Mekhitar (Consolator), catholicos des Arméniens, 29 Septembre 1351, p. 310, D#1056)
(Remarque : le Pape demande aux Arméniens s’ils acceptent les vérités de foi énoncées).
Un homme d’Eglise, et même le pontife romain, peut être légitimement réprimandé et même mis en accusation par des subordonnés et des laïcs.
(Pape Grégoire XI : Erreurs de John Wyclif, condamnées dans la lettre « Super periculosis », aux évêques de Cantorbéry et de Londres, 22 mai 1377, p. 318, D#1139)
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[Ce qui suit est issu de la Première Constitution Dogmatique Pastor Aeternus concernant l’Eglise du Christ : Session 4 : 18 Juillet 1870 : cette même proclamation a déclaré que l’infaillibilité pontificale était un dogme des plus importants : c’est-à-dire qu’il n’est pas possible pour un Catholique de s’y opposer. Les ajouts en gras sont de ma part (Dave Armstrong) afin de mettre en évidence les passages les plus importants.]
[Ière Constitution Dogmatique Pastor Aeternus, Session 4 : Prologue]
Pour que l’épiscopat fût un et non-divisé, pour que, grâce à l’union étroite et réciproque des pontifes, la multitude entière des croyants fût gardée dans l’unité de la foi et de la communion, plaçant le bienheureux Pierre au-dessus des autres Apôtres, il établit en sa personne le principe durable et le fondement visible de cette double unité. Sur sa solidité se bâtirait le temple éternel et sur la fermeté de cette foi s’élèverait l’Église dont la grandeur doit toucher le ciel (1). Parce que les portes de l’enfer se dressent de toutes parts avec une haine de jour en jour croissante contre ce fondement établi par Dieu, pour renverser, s’il se pouvait, l’Église, Nous jugeons nécessaire pour la protection, la sauvegarde et l’accroissement du troupeau catholique, avec l’approbation du saint concile, de proposer à tous les fidèles la doctrine qu’ils doivent croire et tenir sur l’institution, la perpétuité et la nature de la primauté du Siège apostolique, sur lequel repose la force et la solidité de l’Église, conformément à la foi antique et constante de l’Église universelle, et aussi de proscrire et de condamner les erreurs contraires, si pernicieuses pour le troupeau du Seigneur.
[« […] de proscrire et de condamner les erreurs contraires, si pernicieuses pour le troupeau du Seigneur. » ,p. 610: D #3052]
(1) : LÉON LE GRAND, Sermo 4, 2 : PL 54, 150 C.
[Ière Constitution Dogmatique Pastor Aeternus, Session 4 : Chapitre 3]
Parce que le droit divin de la primauté apostolique place le Pontife romain au-dessus de toute l’Église, nous enseignons et déclarons encore qu’il est le juge suprême des fidèles et que, dans toutes les causes qui touchent à la juridiction ecclésiastique, on peut faire recours à son jugement. Le jugement du Siège apostolique, auquel aucune autorité n’est supérieure, ne doit être remis en question par personne, et personne n’a le droit de juger ses décisions.
[Le jugement du Siège apostolique, auquel aucune autorité n’est supérieure, ne doit être remis en question par personne et personne n’a le droit de juger ses décisions 638-642 . , p. 613 : D#3063]
C’est pourquoi ceux qui affirment qu’il est permis d’en appeler des jugements du Pontife romain au concile œcuménique comme à une autorité supérieure à ce Pontife, s’écartent du chemin de la vérité.
[Ière Constitution Dogmatique Pastor Aeternus, Session 4 : Chapitre 4]
On ne peut, en effet, négliger la parole de notre Seigneur Jésus-Christ qui dit : ‘Tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Église’ [Mt 16, 18]. Cette affirmation se vérifie dans les faits, car la religion catholique a toujours été gardée sans tache dans le Siège apostolique. […car la religion catholique a toujours été gardée sans tache auprès du Siège apostolique et la doctrine catholique toujours professée dans Sa sainteté. P. 614, D#3066]. Désireux de ne nous séparer en rien de sa foi et de sa doctrine… nous espérons mériter de demeurer unis en cette communion que prêche le Siège apostolique, en qui réside, entière et vraie, la solidité de la religion chrétienne « .
Pour s’acquitter de leur charge pastorale, nos prédécesseurs ont travaillé infatigablement à la propagation de la doctrine salutaire du Christ parmi tous les peuples de la terre, et ils ont veillé avec un soin égal à sa conservation authentique et pure, là où elle avait été reçue. C’est pourquoi les évêques du monde entier, tantôt individuellement, tantôt réunis en synodes, en suivant la longue coutume des églises et les formes de la règle antique, ont communiqué au Siège apostolique les dangers particuliers qui surgissaient en matière de foi, pour que les dommages causés à la foi fussent réparés là où elle ne saurait subir de défaillance. […pour que les dommages causés à la foi fussent réparés là où elle ne saurait subir de défaillance. P. 615 : D#3069]
Car le Saint Esprit n’a pas été promis aux successeurs de Pierre pour qu’ils fassent connaître, sous sa révélation, une nouvelle doctrine, mais pour qu’avec Son assistance ils gardent saintement et exposent fidèlement la révélation transmise par les Apôtres, c’est-à-dire le dépôt de la foi. Leur doctrine apostolique a été reçue par tous les Pères vénérés, révérée et suivie par les saints docteurs orthodoxes. Ils savaient parfaitement que ce siège de Pierre demeurait pur de toute erreur, aux termes de la promesse divine de notre Seigneur et Sauveur au chef de ses disciples : » J’ai prié pour toi, pour que ta foi ne défaille pas ; et quand tu seras revenu, affermis tes frères » Lc 22,32. […ce siège de Pierre demeurerait pur de toute erreur… p. 615, D#3070]
Ce charisme de vérité et de foi à jamais indéfectible a été accordé par Dieu à Pierre et à ses successeurs en cette chaire, afin qu’ils remplissent leur haute charge pour le salut de tous, afin que le troupeau universel du Christ, écarté des nourritures empoisonnées de l’erreur, soit nourri de l’aliment de la doctrine céleste, afin que, toute occasion de schisme étant supprimée, l’Église soit conservée tout entière dans l’unité et qu’établie sur son fondement elle tienne ferme contre les portes de l’enfer.
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Le choix est le vôtre, chers lecteurs – je m’adresse à ceux d’entre vous qui souhaitent suivre notre Sainte Mère l’Eglise, la Seule Vraie Eglise établie par notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ : la Sainte Eglise Catholique, dirigée par le Pape François, et tous les papes, à perpétuité, et par succession.
Souhaitez-vous suivre de simples hommes, qui manquent clairement de foi en n’acceptant pas les déclarations on-ne-peut-plus-claires ci-dessus, qui énoncent que le Pape est singulièrement guidé par l’Esprit Saint et restera réellement – dans ses enseignements officiels – préservé de toute erreur doctrinale ou morale, et qu’il ne peut ni être jugé, ni surpassé en autorité par quiconque ?
Ou souhaitez-vous suivre cette dissidence scandaleuse, et anti-Catholique dans son essence même, qui n’est qu’une tradition arbitraire des hommes ?
Matthieu 15
3 Il leur répondit: » Et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu par votre tradition?
6 Et vous avez mis à néant la parole de Dieu par votre tradition.
(cf Marc 7 :9, 13)
Choisissez-vous de vivre dans la tradition ancienne, imaginaire et diabolique « démangeant les oreilles » en suivant vos propres penchants plutôt que la tradition apostolique ?
2 Timothée 4 ; 3-4
3 Car un temps viendra où (les hommes) ne supporteront pas la saine doctrine, mais au gré de leurs désirs se donneront une foule de maîtres, l’oreille leur démangeant,
4 et ils détourneront l’oreille de la vérité pour se tourner vers les fables.
Désirez-vous rejeter entièrement l’exemple clair et évident donné par St Paul sur la façon dont le Catholique doit considérer et concevoir l’autorité spirituelle ? Il a agi de la sorte (c’est-à-dire en se soumettant à l’autorité) envers le Grand Prêtre Juif. Et combien plus devons-nous faire preuve de déférence envers le Pape, la Tête Suprême de l’Eglise Catholique ?
Actes 23:1-5
1 Paul, les regards fixés sur le Sanhédrin, dit: » Frères, je me suis conduit devant Dieu jusqu’à ce jour en toute bonne conscience. «
2 Mais le grand prêtre Ananie ordonna à ses assistants de le frapper sur la bouche. Alors Paul lui dit:
3 » Dieu te frappera, muraille blanchie! Même toi qui sièges pour me juger selon la Loi, au mépris de la Loi, tu ordonnes qu’on me frappe! «
4 Les assistants dirent: » Tu injuries le grand prêtre de Dieu! «
5 Paul dit: » Je ne savais pas, frères, qu’il fût grand prêtre; car il est écrit: Tu ne parleras pas mal du chef de ton peuple. «
Voulez- vous écarter et ignorer l’exemple limpide du Roi David : avant qu’il soit roi, il exprima une extrême déférence envers le Roi Saul, qui ne se repentit jamais de ses péchés et de son apostasie, chercha ici et là à tuer David, qui refusa de le tuer quand il en eut l’opportunité ? David était aussi très lié avec Jonathan, le fils de Saul. Et comment David réagit-il après que Saul s’est tué suite à une bataille perdue, conséquence de sa profonde rébellion contre Dieu ?
2 Samuel 1:17-19, 23-24
17 David entonna ce chant funèbre sur Saül et sur Jonathas, son fils,
18 […]. Voici qu’il est écrit dans le Livre du Juste:
19 La splendeur d’Israël a-t-elle péri sur tes hauteurs? Comment sont tombés les héros?
23 Saül et Jonathas, chéris et aimables dans la vie et dans la mort, ils ne furent point séparés. Ils étaient plus agiles que les aigles, ils étaient plus forts que les lions.
24 Filles d’Israël, pleurez sur Saül, […]
2 Samuel 2:5-6
5 Et David envoya des messagers aux gens de Jabès en Galaad pour leur dire: « Soyez bénis de Yahweh, de ce que vous avez rempli ce pieux devoir envers Saül, votre seigneur, et l’avez enterré.
6 Et maintenant, que Yahweh use envers vous de bonté et de fidélité! Moi aussi, je vous rendrai ce bien, parce que vous avez agi de la sorte.
David agit de cette façon tout simplement car Saul était « l’oint du Seigneur ».
1 Samuel 24:6-8, 11
6 Après cela, le cœur de David lui battit, de ce qu’il avait coupé le pan du manteau de Saül.
7 Et il dit à ses hommes : « Que Yahweh me préserve de faire contre mon seigneur, l’oint de Yahweh, une chose telle que de porter ma main sur lui, car il est l’oint de Yahweh ! »
8 Par ses paroles, David réprima ses hommes et ne leur permit pas de se jeter sur Saül.
11 […] Je ne porterai point ma main sur mon seigneur, car il est l’oint de Yahweh.
(cf. 1 Samuel 26:9, 11, 16, 23 ; 2 Sam 1:14, 16).
Il agit en accord avec ce que son fils Salomon a affirmé : « Même dans ta pensée, ne maudis pas le roi » (Ecc 10 :20)
Et tout ceci concerne un roi tombé dans l’apostasie et qui rejetait Dieu… En d’autres mots, même si le Pape François était hypothétiquement malfaisant ou hérétique, la Bible ne fournit tout de même pas de fondements qui justifieraient de le traiter comme l’ont fait ces critiques impies et vigoureuses.
Mais le fait est qu’il n’est pas un hérétique ; il n’a aucunement enseigné l’hérésie, et cela ne lui serait jamais permis, en vertu de la protection du Saint Esprit, telle qu’exprimée par les dogmes dans les documents du magistère Catholique, qui engagent la foi Catholique (voir les références sus-mentionnées). C’est pourquoi ceux qui prétendent le contraire :
1. mentent et portent de faux témoignages (péchés mortels),
2. manquent de foi en l’Eglise Catholique, et particulièrement envers Siège Romain, qui est indéfectible (et rejettent complètement les proclamations qui l’affirment),
3. désobéissent aux injonctions magistérielles claires stipulant que personne ne peut juger le Pape,
4. échouent à manifester la révérence due non seulement au Pape en particulier, et plus qu’à tout autre, mais aussi à tous les supérieurs spirituels dans l’Eglise. Saint Pierre, le premier Pape, écrivit : « Rendez honneur à tous; aimez tous les frères; craignez Dieu; honorez le roi. » (1 Pierre 2 :17) [Le roi était alors Néron !]. Saint Paul ajouta : « mais que chacun, en toute humilité, regarde les autres comme au-dessus de soi » (Philippiens 2 :3). Et les personnes précédemment mentionnées osent traiter un pape de cette façon ?
Ces actes et ces pensées sont – et c’est indéniable – anti-Catholiques, schismatiques dans l’esprit (si ce n’est pas encore le cas canoniquement parlant), outranciers, scandaleux, calomnieux, impies ; et ceux qui commettent ces actes sont ignorants en matière catéchétique et théologique, ignorants et infondés, et c’est donc pourquoi ils doivent cesser ces médisances le plus tôt possible, pour le salut de leurs âmes et de celles qui, entendant ces calomnies « démangeant les oreilles », les suivent tragiquement dans ces erreurs maudites.
Encore une fois, chers lecteurs [Catholiques], ce choix est le vôtre. Mon gain pour vous dire la vérité est minime. La plupart de « l’argent », de l’exposition médiatique, de la “célébrité » est actuellement du côté des critiques virulentes du Pape. Leurs vidéos pathétiques, leurs articles et leurs conférences sont amplement relayés et diffusés. Je ne suis qu’un pauvre apologète, suivant ma vocation et faisant ce que j’ai toujours fait : défendre le Christianisme et particulièrement notre Sainte Mère l’Eglise et ses enseignements. Je vous dis cela entièrement parce que c’est véridique, et par amour pour vous et en désirant votre salut.
Si vous souhaitez en savoir plus sur la fausseté systématique des attaques contre le Pape François, consultez ces 2 rubriques, de près de 400 articles :
==> Réponses aux critiques du Pape François [173 de mes articles]
==> Le Pape François Défendu : Ressources pour les personnes confuses ou troublées. [232 articles d’autres auteurs]
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